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Marine


J’ai rencontré Pierre-Emmanuel VIDAL lors d’un stage de 5 jours intitulé « Auteur de sa vie-Acteur dans le monde » en juin 2021. Au cours de ce stage nous avons noué une belle relation d’amitié et de confiance. En octobre 2021, je terminais une année d’études en vue de me reconvertir dans les métiers de la transition écologique et solidaire, mais j’étais dans une impasse, car ma formation ne m’avait pas permis d’explorer ma raison d’être. À ce moment-là, j’avais un fort besoin de faire le point sur moi-même, sur mes compétences, mes valeurs. Je voulais aussi identifier les prochains pas à faire pour ma reconversion. J’avais néanmoins peur d’entamer ce travail seule, et le format « collectif » proposé par de nombreux organismes ne m’attirait pas du tout. Il me fallait un coaching personnalisé et c’est donc tout naturellement que j’ai pensé à Pierre-Emmanuel.
À cette époque il voulait tester sa méthodologie pour TRÈFLE AVENTURE, à savoir un savant mélange entre son expérience professionnelle en bilan de compétences et de nouvelles méthodes inspirées notamment d’« Auteur de sa vie-Acteur dans le monde ». C’est donc très motivée que j’ai accepté d’y participer et nous avons entamé un coaching en début d’année 2022. N’étant pas en Nouvelle-Aquitaine nous avons fait nos échanges en visioconférences à raison de 8 séances de 2h sur 5 mois. L’accompagnement a été sur-mesure, Pierre-Emmanuel a su adapter les exercices d’exploration en fonction de mes besoins, de mes blocages et de mes états émotionnels qui ont pu être fluctuants pendant ces 5 mois. Il ne m’a jamais lâché même dans les moments où la motivation n’était plus là.
Je suis très heureuse d’avoir été accompagnée par Pierre-Emmanuel, car j’avais vraiment besoin d’une personne compétente et de confiance pour me soutenir dans ce passage délicat de ma vie. Grâce à son aide, j’ai pu faire les petits pas que je n’arrivais pas à faire seule. Le coaching m’a permis de mieux comprendre ma valeur et, ainsi, de me remettre en mouvement. Je suis actuellement en train d’explorer plusieurs pistes dont une en tant qu’indépendante pour soutenir le secteur du développement personnel.
Si vous avez besoin de soutien dans vos questionnements et choix d’évolution professionnelle je ne peux que vous conseiller de contacter TRÈFLE AVENTURE. Je suis convaincue qu’ils arriveront à vous aider à remettre du mouvement dans vos vies. Au-delà des belles qualités de l’équipe, la méthode qu’ils ont mis au point est très humaine et va bien plus loin qu’un bilan de compétence classique.
Bonne exploration à tous et longue vie à TRÈFLE AVENTURE !

Myriam


Avant de me lancer dans un bilan de compétences, je travaillais pour un supermarché où j’avais évolué dans différents postes et sur plusieurs à la fois.
Lorsque mon corps a fini par dire que je ne pouvais plus supporter cette situation que je ne cessais d’espérer qu’elle s’améliore, j’ai dû me rendre à l’évidence… après deux pertes de connaissances et des malaises vagaux, il fallait que je me trouve un emploi où je pourrais m’épanouir.
J’ai eu l’occasion de suivre la formation avec une personne très humaine qui m’a permis de découvrir mes points forts, qui a valorisé mes compétences et m’a rappelé que j’étais une personne douée de divers talents (ce ne fut pas simple puisque pendant des années j’avais été dévalorisée et que j’avais du mal à comprendre que ce que je considérais comme normal était en fait ce qui me démarquait des autres).
Maintenant que mon bilan de compétences est terminé, j’aimerais intégrer une formation de développeuse web, tenter de faire imprimer un de mes écrits et essayer de m’intéresser à d’autres logiciels de dessin pour colorier mes œuvres… ainsi que quelques petits projets annexes.
Un symbole pour représenter mon parcours ?
Un drapeau vert… la couleur de l’espérance, qui est mon second prénom aussi. J’espère que la suite se déroulera sans encombre pour pouvoir apprendre et intégrer un nouvel emploi où je pourrais m’accomplir avec plus de serénité.

Amaya


Je m’appelle Amaya, et si je devais résumer mon parcours, je dirais qu’il a toujours été guidé par le besoin de donner du sens à ce que je faisais.
C’est ce qui m’a menée, après le bac, à Paris, à l’école Estienne, pour étudier l’édition. Là-bas, j’ai appris à créer des livres : à choisir un format, une typographie, un papier. À penser un objet dans ses moindres détails pour qu’il serve une idée, une histoire, une voix, qu’il procure des émotions, qu’il ouvre des possibles. Ensuite, j’ai travaillé dans la presse et l’édition spécialisées. C’était une période très formatrice. Intense aussi.
Quand je suis tombée enceinte de notre troisième enfant, nous avons décidé avec mon mari de quitter Paris pour retourner vivre dans le Sud. Puis est arrivé notre quatrième enfant. C’est à cette période que j’ai commencé à travailler pour des agences de communication institutionnelle, engagées à gauche, auprès des mairies, des collectivités territoriales, des ministères. Un univers très différent de l’édition, mais qui avait lui aussi un sens fort : celui de porter des projets publics, des engagements collectifs.
Mais après ces dix années, une fois que mes enfants ont grandi, une question a commencé à me trotter dans la tête : et maintenant ? Quelle place ai-je envie de prendre dans ma vie professionnelle ? Est-ce que ce que je fais encore chaque jour a du sens pour moi ?
Une amie m’a alors conseillé de faire un bilan de compétences. J’étais plutôt sceptique. Pour être honnête, j’avais en tête l’image d’un exercice un peu administratif, qui vous dit ce que vous savez faire, et comment le réutiliser dans un autre emploi. Et puis, les retours que j’avais entendus autour de moi n’étaient pas très enthousiastes : souvent, les gens en ressortaient avec une fiche de synthèse et pas grand-chose de plus. Mais cette amie m’a parlé de François LAMY. Elle m’a dit : « Va le rencontrer, c’est différent. » Et effectivement, dès notre premier échange, j’ai senti que ce bilan serait autre chose qu’une simple mise à plat de compétences.
Ce que j’ai entrepris avec lui, c’était un cheminement beaucoup plus profond. Un travail sur qui j’étais, à la fois dans le cadre professionnel et personnel. Sur ce qui me faisait vibrer, sur mes valeurs, mes engagements, sur les sujets qui me tenaient vraiment à cœur. Ce n’était pas une découverte, au fond, mais plutôt une mise en lumière. Le fait de poser des mots clairs sur ce que je ressentais depuis longtemps. Ce travail m’a permis de comprendre non pas ce que je « savais faire », mais ce que je « voulais faire ». Ce que j’avais envie de transmettre, de défendre, de construire. Et une fois cette clarté trouvée, la direction s’est imposée d’elle-même.
Mais évidemment, il fallait confronter cette idée à la réalité. J’en ai parlé à mes proches — à mes enfants aussi, bien sûr, parce qu’ils étaient au cœur de cette réflexion. J’ai ensuite rencontré des professionnels, échangé, posé des questions, testé mes intuitions… Et quelques mois plus tard, je créais les éditions Athizes, une maison d’édition jeunesse, humaniste et engagée.
Aujourd’hui Athizes a trois ans. Trois ans, c’est encore petit… mais elle commence a déjà bien faire entendre sa voix ! Cette maison d’édition est profondément nourrie par les questionnements et les indignations des enfants ; leurs « Ce n’est pas juste ! » et leurs « Pourquoi pas ? » — ces phrases qui désarment parfois les adultes, mais qui, pour moi, sont des moteurs puissants. Elle est aussi nourrie de mes propres enfants, de leurs amis, de tous ces jeunes qui grandissent dans un monde complexe mais qui ne baissent pas les bras.
Chez Athizes, nous proposons aux enfants de 5 à 11 ans des récits inspirants : des histoires d’enfants de leur âge qui ont décidé d’agir, de défendre leurs droits et ceux des autres. Des livres qui leur montrent qu’ils ont une voix. Et que cette voix compte. Nous essayons aussi de transmettre quelque chose d’essentiel : la joie et l’espoir d’un monde plus juste. Parce que parler des droits, des luttes et des injustices, ce n’est pas parler de choses tristes. C’est aussi parler de courage, de solidarité, de confiance dans l’avenir.
Créer Athizes, ce n’est pas seulement avoir changé de métier. C’est avoir donné une nouvelle direction à ma vie. Une direction où le sens n’est plus une option, mais un cap , un pic, que dis-je une une Trèfle aventure !




